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Les vacances… ?!?!

Blijf op de hoogte en volg Marscha

01 Maart 2019 | Frankrijk, Bois-le-Roi

Samedi le 23 février, je me suis réveillée à 08h00, « je partirai à Paris » était ma première pensée. J’ai pris le train à Bois-le-Roi à 09h18, j’ai acheté un ticket pour un jour pour le métro et j’ai descendu le métro au station Bir-Hakeim. Le premier monument que je voulais visiter était la Tour Eiffel, juste pour avoir l’impression que j’étais vraiment à Paris. Aujourd’hui il faisait très beau, alors c’était dommage que j’eusse oublié mes lunettes de soleil, mais je pouvais faire de belles photos.
Ensuite je visitais le quartier Montmartre. J’avais faim, alors j’ai acheté un sandwich au thon. Sur un banc public plein au soleil en mangeant mon sandwich, qui était délicieux, je regardais les enfants qui jouait à l’aire de jeu. Après que je me suis reposée un peu, je continuais. J’ai monté les escaliers et j’étais devant le Sacré-Cœur. Quelle vue magnifique ! Aucun nuage au ciel qui était bleu vif. Il y avait beaucoup de monde et l’un moment à l’autre je voyais huit militaires. Cela doit nous donner un sentiment de sécurité, mais ça reste un peu intimidant et impressionnante en même temps. Pour la première fois, j’entrais l’église. Elle est plus grande que je pensais avant. Pourtant, je trouve l’extérieur plus beau. Après j’ai visité encore la Place du Tertre. Je la trouvais moins jolie que ma visite en 2017 avec Mariken.
Je voyais un chemin avec des escaliers et je pensais que Mariken et moi ont pris aussi cette route. Je suivais les Français qui étaient avant moi, mais après dix minutes je voyais aucune touriste. Heureusement, j’avais mon portable. Sur Internet je cherchais le métro le plus proche et je décidais d’aller aux Champs-Élysées. J’ai pris la ligne treize et c’était presque le prochain arrêt. « La promenade à la Marscha » m’a fatigué, alors j’étais contente de m’asseoir pendant quelques minutes. À mon avis, il a fallu beaucoup de temps avant que les portes du métro s’ouvraient. Je me rendais compte qu’on a sauté l’arrête Champs-Élysées Clemenceau. C’était à cause de la sécurité que cette station de métro était fermée.
À Montparnasse je suis descendu, mais je ne pouvais pas trouver la Tour Montparnasse. Je regardais au ciel et voilà elle était là. À ce moment je me sentais vraiment une blonde stupide. Partout je voyais des magasins et j’avais envie de faire du shopping. D’abord je suis allée au FNAC, pour acheter des livres pour mes études. J’en ai acheté deux, c’est-à-dire « Chanson douce » et « Un peu, beaucoup, à la folie ». Chez H&M j’ai acheté un pull et un t-shirt. Le motif ? Bien sûr des lignes et de petits points, mouhaha. La couleur ? Bleu foncé et noir, comme presque toujours, mouhaha.
Tout à coup, j’ai entendu des cris. Les gilets jaunes arrivaient. Je voyais plusieurs queues avec des agents de la police nationale, la fumée jaune, des drapeaux françaises, des panneaux et de centièmes de gilets jaunes, qui manifestaient en marchant sur les routes. C’était la deuxième fois que je voyais des gilets jaunes en réalité, mais cette fois-ci, ils étaient plus agressifs. Je regardais d’une distance, pour la sécurité je ne les approchais pas. On ne sait jamais ce qu’il va passer avec les gilets jaunes. Cinq minutes après, j’entendais des sirènes. Onze camions de police arrivaient en haute vitesse. Dans chaque camion, il y avait cinq policiers avec de grands pistolets et des masques à gaz. Quelque chose comme ça, je n’avais jamais vu en réalité… mais c’était énormément impressionnant. Maintenant, je pensais que c’était mieux de partir. Je voyais un MacDo. Le samedi, aux Pays-Bas, le jour qu’on mange des frites. En revanche, je n’avais pas envie de manger des frites. J’achetais une glace à KitKat, de l’eau et un livre pour compléter ma collection. Quand j’ai quitté le MacDo, les onze camions allumaient les sirènes et partaient vite. En outre il arrivait encore cinq voitures de police.
La police nationale devait se déplacer, parce que les gilets jaunes n’étaient plus sur la grande route principale. Vers 16h00 j’ai pris le métro pour aller à la gare de Lyon. Là, j’ai pris le journal « vingt minutes », pour le lire dans le train à Bois-le-Roi. Arrivée là-bas, j’aimais le calme et je me sentais un habitant de ce village. Après coup c’était une idée bizarre. À17h30, j’étais à la maison. L’aventure (d’être toute seule à Paris) était réussie, mais j’étais énormément fatiguée !

Dimanche j’avais mon jour de repos. Je me suis levée tôt (08h30), parce que je voulais prendre le petit-déjeuner avec la famille. Elisabeth avait fait de petits pains qui étaient vraiment bons. Cette journée je lavais tous mes vêtements, mes serviettes et mes draps et je rangeais ma chambre. Après il sentais très bon dans ma chambre et ma salle de bains. En outre, j’avais le temps pour moi-même, c’est-à-dire lire des magazines, écrire mon blog et de parler avec mes amis. La seule chose que je devais encore faire était faire ma valise.

Lundi le 26 février, les vacances sont parties. À 10h30 on quittait Bois-le-Roi pour alles à le Pèque. Un voyage de huit heures en voiture. Vers 12h15 on a fait notre première pause. Les enfants pouvaient jouer à l’aire de jeu, on mangeait les sandwiches qu’Henri et moi ont préparé ce matin et on pouvait aller aux toilettes. Moi, j’ouvrais la porte et voyais une toilette avec un trou. Ben non, jamais que je vais faire pipi comme ça !!! Heureusement les toilettes pour des moins-valides étaient « normaux », sinon je ne voulais pas y aller. Vers 13h30 on a repris la route et c’était moi au volant. Au début (premier dix minutes au maximum) je ne me sentais pas vraiment à l’aise, parce que je roulais pour la première fois sur l’autoroute française avec une remorque. Pendant deux heures je conduisais. Avant Lyon Elisabeth et moi voulaient changer, mais il n’y avait plus une station à gaz ou une aire pour faire un tout petit stop, alors devant la barrière du péage on a vite changé. Heureusement, Elisabeth était au volant à Lyon. Il y avait plus de voitures et la route était plus complexe. Après Lyon on a fait notre deuxième et dernière pause vers 16h00. Elisabeth a acheté un cappuccino pour nous et un goûté pour les enfants. Apple Plans nous a dit qu’il restait encore deux heures de route. En route Elisabeth me racontait de temps en temps quelque chose sur la culture française :
• Lyon  il y a deux rivières importantes ; la Saône et le Rhône. Et il y a le musée des confluences.
• La Vallée du Rhône coule de Lyon jusqu’à la mer Méditerranée.
• En Bourgogne on voit des vaches blanches et beaucoup de châteaux.
• En Provence (le sud de la France) il y a des chaînes qui ne perdent pas les feuilles vertes. C’est une grande différence avec la forêt de Fontainebleau, parce que là on voit seulement des branches (sans des feuilles verts). Les murettes des petites pierres sont aussi typiques pour la Provence.
• Taulignan est un village rond en forme d’un château.
Huit heures après, on est arrivée à le Pèque, un tout petit village à la campagne. Les parents d’Elisabeth habitent là et on ira passer les vacances chez eux. À Célas (pseudonyme de le Pèque) on cultive des abricots, du vigne et de la lavande. Les olives ne se produit pas à Célas, parce qu’il n’est pas assez chaud. On trouve des oliviers dans les environs où il fait plus chaud. Ce soir on a mangé ensemble, on a parlé avec les grands-parents et on s’est couché tôt.

Mardi matin j’étais venu avec grand-papa et les trois garçons. On est allé à l’hébergerie pour donner de la nourriture aux moutons. Ensuite on faisait une petite promenade pour aller aux moutons qui étaient dans les montagnes. On était en Provence, le soleil brulait et le Mistral ne soufflait pas. À cause de ces raisons, il faisait très chaud et on a enlevé les manteaux. Je voyais un lac avec beaucoup de crapauds, des plants de la région, des chiens de chasse et des moutons. Les chiens de chasse mordent si nécessaire et aboient quand une personne s’approche. Je ne m’étais pas attendu qu’on pouvait les caresser. Les grands chiens blancs étaient sages, bien sûr parce qu’ils reconnaissaient grand-papa. Depuis longtemps je me sentais un moment la fille qui a grandi à Asperen où il y a partout des polders. Après la sieste les questions pour aller faire de la balançoire était commencé :
• « Marscha, est-ce qu’on peut faire de la balançoire, s’il te plaît ? »
• « Marscha, est-ce que tu veux me pousser, s’il te plaît ? »
Les enfants, Charles et Antoine, aiment faire de la balançoire, c’est devenu clair pour moi, mouhaha.

Mercredi le 28 février, je pêchais des crapauds avec Antoine. Il y’en a beaucoup au lac, alors même-moi pouvais en attraper dix au minimum. Moi, je ne voulais pas les approcher, car quand j’étais petite, il y avait une grenouille qui a sauté sur ma jupe. En revanche, Antoine n’avait pas du tout peur, il a accidentellement même touché une. Vers 13h00 on est allé à pied dans les montagnes derrière la maison. Malgré la chaleur je pouvais me promener vite. Vous savez pourquoi ? À ce moment, je savais que le pique-nique avec les grands-parents, Domiti (cousine), Benoît (cousin), Elisabeth et les enfants m’attendait. Un pique-nique volumineux ; du pain, des chips, des steak-hachés, des légumes (carottes, tomates, cornichons), du fromage, des olives, de l’eau et du sirop à citron. Rentrée à la maison, on mangeait encore une glace. Les enfants sauf Henri avaient une moustache et une barbe de chocolat.

Jeudi matin Elisabeth m’a amené à un grand marché qui était en un quart d’heure de Célas. Les marchandises nous laissaient goûter beaucoup en espérant qu’on l’achèterait. J’ai goûté entre autres des choses typiquement de la région ; biscuits en amende, tapenade d’olives, tapenade des tomates et tapenade d’ailes. On avait aussi des petites conversations, par exemple sur la nourriture de la Provence et mon séjour comme fille au pair en France. Il faisait beau et l’ambiance était agréable. J’avais l’idée que j’étais vraiment en vacances. Avec ma mère j’aime visiter les marchés en Espagne ou en Italie. Il y avait aussi des étals avec des tissus. Elisabeth m’a montré le tissu qui est typique pour la Provence, c’est-à-dire avec (à mon avis) un modèle des fleurs. Les tissus avec par exemple l’image des olives sont aussi populaire en Provence. À la boulangerie on a acheté une baguette et des macarons en différents couleurs ; jaune (citron), vert (pistache), violet (casis), orange (fruits passions), mélange de blanc/marron (crème d’une noix) et marron (chocolat). Comme dessert je mangeais le macaron vert, oulala, DÉ-LI-CIEUX ! Au retour de la voiture je voulais acheter quelques cartes avec des textes en français. J’en ai acheté quatre :
• « Les bons amis sont comme des étoiles. Tu ne les vois pas toujours mais tu sais qu’ils sont toujours là. »
• « Ma meilleure idée du jour : t’écrire ! »
• « Deviens ce que tu es »
• « La vie ce n’est pas d’attendre que les oranges passent. C’est apprendre comment danser sous la pluie. »
L’après-midi grand-maman faisait un cappuccino pour moi. J’ai profité de ma sieste, en fait lire mon Cosmopolitain au soleil. Ce soir j’avais déjà un couleur selon Elisabeth. Je l’ai confirmé quand je regardais au miroir ; les cheveux plus blonds et la peau un peu rouge/bronzé.

Vendredi le premier mars la sœur d’Elisabeth venait avec son mari et ses quatre enfants. Vers 13h30 (au même plus tard) on mangeait le barbecue avec toute la famille. C’est-à-dire la famille de sa sœur, la famille de son frère, les grands-parents et nous. C’était chouette de mieux faire connaissance. Cet après-midi Renaud était arrivé à le Pèque, parce qu’il a travaillé toute la semaine. Ce soir on mangeait le repas avec les grands-parents et la famille de sa sœur. Ensemble on parlait sur des préjugés de la France/des Pays-Bas, des repas dans les deux pays et encore de beaucoup d’autre choses intéressantes. Ils m’ont fait un grand compliment à savoir que je parle très bien en français. Selon eux je n’ai pas un accent néerlandais. Ces mots m’ont fait briller ! Je me réalisais que j’étais déjà un mois en France, le temps passe vite si on s’amuse. Cependant, Elisabeth et moi avaient l’idée que j’étais déjà plus longtemps à Bois-le-Roi.

Aujourd’hui je me sens à l’aise en France. Je suis très curieuse de savoir ce que le mois de mars va m’apporter ?! D’abord encore profiter de mes vacances en Provence…

Un très grand blog, je sais, mouhaha. Comment ça va en Hollande ? Je vous manque un peu ?

Gros bisous, Marscha




Soooorrrrryyyy ik heb geen Nederlandse vertaling... Ik heb ivm de vakantie van de kids geen tijd gehad om hem te vertalen :( Mocht je toch de vertaling willen, stuur me een appje en je krijgt een geweldige spraak :)

  • 09 Maart 2019 - 05:59

    Mams:

    Niet zo moeilijk hoor deze lange tekst. Woord voor woord begrepen.
    Heb zojuist de gesproken versie gekregen, live in Avon. Met de schrijfster aan de eettafel haha

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Marscha

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